Les digues sont remplacées par deux récifs artificiels. Un de 350 m, l'autre de 250 de long, + hauts que la Grand’Roche.
Toutes les autres contraintes demeurent :
- problèmes environnementaux
- problèmes juridiques
- augmentation de l’emprise du projet,
- nécessité de creuser profond pour obtenir un tirant d’eau suffisant dans le chenal : à – 1,50 m cote marine, soit plus de 9m de profondeur au niveau de la plage.Même s’il était
bétonné, on imagine facilement que selon les marée, ce chenal dont les bords sont prévus semi-immergésl serait comblé par le sable !